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lundi 5 décembre 2016

Ile d'Oléron

Retour au port près de la Pointe du Doux
Une nouvelle escapade en Novembre, (du 16 au 20/11) : arrêt à l'Ile d'Oléron avant de gagner la Bretagne. La plus grande île française après la Corse, avec 30 km de long sur 8 km de large, elle a une superficie de 174 km2 et plus de 21 000 habitants permanents.  Depuis 1966, elle est reliée au continent par un pont routier, long de 2,8 km, 2ème plus long pont de France après celui de l'île de Ré.
Célébrée par Pierre Loti, elle est surnommée « Oléron la lumineuse » en raison de son fort taux d’ensoleillement tout au long de l'année.

Phare de Chassiron
Nous étions basés à la Côtinière, le premier port de pêche de la Charente Maritime et dans le TOP pour la France. Il est spécialisé dans le céteau, un poisson saisonnier ; près d’une centaine de  
chalutiers y rentre chaque jour pour les criées de h et 16 h.

L'île est parsemée de nombreux villages : St Denis d'Oléron (la "capitale"), St Georges, Château d'Oléron, St Trojan (le village aux mimosas).....
La petite route côtière, signalée "Route des Huîtres" à partir du Château d'Oléron, serpente entre les chenaux, les cabanes ostréicoles, les claires. La côte, dans sa partie sud, est vraiment le domaine des ostréiculteurs.

Citadelle de Château d'Oléron
A travers la variété des paysages et le pittoresque des villages aux maisons basses, on se rend compte que l'île d'Oléron vit de la mer mais aussi de la terre.

En particulier, la viticulture est importante pour l'économie locale. Autrefois, le vin était largement destiné à la distillation pour la production d'eau de vie pour l'élaboration du cognac et du pineau .Le marché du cognac devenu moins porteur, les vignerons se sont  tournés vers la production de pineau et de vins de pays. Le cépage principal est l'ugni blanc pour le vin de distillation, mais maintenant les viticulteurs plantent des cépages sauvignon, colombard, cabernet, merlot. Un vin blanc sec accompagne parfaitement huîtres et poissons.

Nous avons parcouru l'île de bout en bout avec de nombreuses observations d'oiseaux : limicoles : bécasseaux variables, chevaliers gambettes, pluviers argentés, et bernaches cravants,.... et surtout 2 faucons pèlerins.


Cabanes ostréicoles à Fort Royer
Nous avons également réalisé quelques jolies balades telles que le phare de Chassiron et ses falaises, les marais salants de Port Salines, la citadelle du Château d'Oléron et les nombreuses claires : les bassins d'affinage pour les huîtres.

Nous n'avons pas manqué la petite randonnée de Fort-Boyard à Fort Royer. Le site de Fort-Royer est un traditionnel village centenaire, situé dans une réserve naturelle, composé de cabanes ostréicoles en bois disséminées au milieu des claires et des chenaux où se mélangent vasières, dunes, parcs à huîtres.A l'heure actuelle ses cabanes sont transformées en bar, restaurant, galeries d'artistes, artisanat....
Mais ce que nous avons aimé d'Oléron, c'est aussi son côté sauvage et nature : ses forêts, ses longues plages de sable fin, ses marais …

Pour en savoir plus, cliquez sur le lien de l'album google+ ci-après :







dimanche 30 octobre 2016

Balade à Fort Peccais le 29 Octobre 2016

Nous profitons d'une belle journée d'automne très ensoleillée pour se remettre en jambes, principalement pour Jean-Pierre qui sort de convalescence. Se garer le long du chemin communal au niveau du lieu-dit Le Bosquet à 4 kms au sud-est d'Aigues-Mortes.
Cet aller et retour (balisage jaune) entre vignes et marais nous a mené au fort de Peccais.
Carte topographique de cette balade (10 Km a/r). Ce chemin plat traverse la Petite Camargue, longe le canal du Bourgidou jusqu'au fort de Peccais, vaisseau de pierre échoué aux milieux des eaux.
Le Fort de Peccais (prononcé Peccaï en provençal) est une construction militaire,  construit en 1568 pour protéger les salins et les canaux sur lesquels ont transportait la si précieuse A proximité des salins d'Aigues-Mortes,il est  aujourd’hui en ruines.
denrée (le sel associé à la gabelle) des pilleurs et contrebandiers. Il a également servi à lutter contre les pirates.
Il a été inscrit monument historique par arrêté du 13 décembre 1978. En décembre 2012, il est cédé par la Cie des Salins du Midi au Conservatoire du littoral. Sur la piste, vue sur les étangs, marais, vignobles, étangs où on pourra observer outre les chevaux camarguais, la faune : cygnes, aigrettes.  L'endroit est peuplé malheureusement de nombreux moustiques.
Nous avons pique-niqué au fort.
Pour en savoir plus, cliquez sur le lien de l'album photo Google +

lundi 12 septembre 2016

Randonnées Cotentin été 2016

Falaises du Nez de Jobourg
Le Cotentin est un pays de Normandie, qui couvre le Nord du département de la Manche.
Nous étions basés à Gréville La Hague dans le joli petit hameau de Neels, une très jolie ferme reconvertie en chambre d'hôtes..

Entre mer et bocage, le Cotentin offre des paysages très sauvages jalonnés de nombreux sentiers douaniers. Du Nez de Jobourg à la pointe de Barfleur, en passant par les plages du Débarquement (Uta Beach) …. dans le Cotentin, où que nous soyons la mer n’est jamais bien loin.
Dans les baies de Quervière ou d'Ecalgrain, face à la mer et au phare de Goury, en haut des falaises granitiques de Jobourg,  dans les dunes de Vauville, entre bruyères et ajoncs, en longeant les murets de pierre typiques, le Cotentin a un petit "air d'Irlande ".

Port Racine
De jolis ports : Face aux îles anglo-normandes, le long des 80 km de côtes haguaises, et malgré les courants puissants du Raz Blanchard, les bateaux ont ici trouvé des havres naturels où s’amarrer, tels que le plus petit port de France : Port Racine, aux voiliers de plaisance ou bien aux bateaux de pêche du côté de Barfleur avec le phare de Gatteville.

Le phare de Gatteville
La Hague, connue pour ses caps exposés au vent, étonne toujours par la douceur de son climat. Bordée par le Gulf Stream, elle est une terre où des botanistes passionnés ont pu cultiver des plantes exotiques, tel que le jardin botanique de Vauville.





La maison du peintre Millet à Gruchy
Nous y avons effectué de belles randonnées, telles que :
  • Gréville La Hague et le hameau de Gruchy par le sentier douanier avec arrêt à la maison du peintre Millet.
  • Le sentier côtier du Nez de Jobourg et ses falaises
  • Les dunes de Vauville
  • Barfleur et le phare de Gatteville 
Les dunes de Vauville

Pour en savoir plus, cliquez sur le lien de l'album google+ :








dimanche 26 juin 2016

Le Massif des Bauges Juin 2016

Epernay dans le fond de la vallée
Nous avons passé une semaine dans le massif des Bauges au confins de la Savoie et de la Haute-Savoie. Les habitants des Bauges s'appellent les Baujus. Ce massif domine les villes de Chambéry, Aix-les-Bains et Annecy et fait partie des Préalpes françaises. Le mont Trelod et la pointe d'Arcalod culminent à plus de 2200 m.


Il est traversé par la vallée du Chéran, et se caractérise par des montagnes calcaires, qui ne sont pas particulièrement hautes, mais qui s’effondrent en à-pics rocheux. L’ambiance montagnarde est bien présente. 
Sabot de Vénus
 Le massif est particulièrement marqué par des alpages (6 500 ha de terres pastorales) et de la forêt (34 000 ha), mais aussi de prairies,de torrents, de pelouses sèches et alpines, de falaises, de grottes. Malgré une météo bien humide, nous avons réussi à randonner dans les alpages en compagnie des "Tarines" et Abondances" qui parsèment les versants alpins.  Les fruitières sont abondantes et c'est le royaume des fromages : tome des bauges, chevrotins, ...  Nous étions basés au hameau d'Epernay, commune de Sainte-Reine, près du Chatelard.
Nous avons effectué quelques belles randonnées dont le dénivelé ne dépassait pas 500 ou 600 m.
Les grangettes Ecole

  - Autour d'Epernay : une boucle par le hameau de Routhennes et le "chef lieu" (non donné par les baujus) de Sainte-Reine constitué  d’une église, de quelques maisons, et d'une petite mairie. (6 km)
Randonnée de 7 km faite avec Claire et Mikaël qui nous ont rejoint le week-end. Petite randonnée également au départ d'Epernay en passant par Gratteloup et le Villard. Retour par le sentier du haut avec quelques difficultés. (6,5 Km)


- Le Vallon de Bellevaux : 7 km
A partir du village d’Ecole, une petite route permet de parcourir le vallon de Bellevaux
Ecole
jusqu’à un parking, départ de notre promenade.
Nous sommes tout d’abord montés jusqu’au hameau de la Chapelle, complètement détruit par les Allemands pendant la dernière guerre (parce qu’on prétendait qu’il servait de refuge à la résistance) et jamais reconstruit depuis, puis nous avons pique-niqué à la chapelle Notre-Dame de Bellevaux et sommes
redescendus en empruntant le sentier qui longe le Chéran pour rejoindre notre voiture.



- La Cascade de Pissieux : 7 km
Départ entre le village de Lescheraines et Aillon-le-Jeune. Au parking, nous avons emprunté le chemin après le pont qui enjambe le ruisseau de l'Aillon.
Cascade du Pissieux
 Le sentier ombragé borde la forêt. Puis nous avons rencontré quelques bâtisses au lieu dit "du Martinet"où l'on forgeait jusqu'au siècle dernier, le fer et notamment les fameux clous des Bauges. Maintenant, il s'agit d'une chêvrerie (fromages et mohair). A la bifurcation, prendre le chemin du bas qui conduit à la cascade.  Cette source est en fait une résurgence : la majeure partie des eaux souterraines, infiltrées au sein de la roche calcaire forment de véritables torrents souterrains. Le retour se fait en revenant à la bifurcation et en suivant le chemin du haut. Arrivé à la route, nous l'avons traversée et empruntée le chemin de gauche et l'on s'est dirigé vers le hameau de Villaret Rouge. Puis retour au parking par le chemin dit des "granges de la Verrière". 

Les falaises de Margériaz
- Les Crêtes de Margeriaz : 8,5 km - 465 m dénivelé positif
A partir d’Aillon-le-Jeune, une route nous mène à la station de ski, déserte l’été. Du parking, par un chemin empierré, nous avons gagné la cabane de Bahan, isolée au milieu des bois. Puis, nous avons emprunté un sentier serpentant dans le bois, qui passait à côté d’une série de gouffres creusés dans le calcaire, lesquels ont longtemps été utilisés comme glacières. Ce sentier appelé "Tannes et Glacières", nous a conduit aux crêtes et au rocs de Margériaz où nous avons pique-niqué. Vue sur la station de ski mais aussi sur les falaises : personnes exposées au vertige, s’abstenir : la falaise est impressionnante ! Descente par les chalets d'alpage avec la chèvrerie. Les chèvres étaient gardées par des chiens sur les alpages. Difficile de s'en approcher !
Retour avec arrêt à Aillon le Jeune pour visiter la Chartreuse qui a été complétement restauré par le Conseil Général.


- Le Crêt du Char : le col de la Bornette- 8,7 km, 460 m dénivelé


Départ du hameau de Mont-Derrière à  Bellecombe en  Bauges (le hameau voisin se nomme Mont-Devant…). Suivant la signalisation du GR® de Pays Tour des Bauges, nous remontons en forêt vers le lieu-dit « Le Reposoir », où nous obliquons à gauche dans un sentier qui nous conduit au Col de la Bornette. Aujourd’hui, le ciel est gris chargé de nuages noirs  mais nous réussissons  à voir malgré tout  la vue sur le lac d'Annecy,  Encore une rude montée, et nous atteignons le Crêt du Char (1468 mètres - belle vue sur la vallée de la Chérance), d’où il ne nous reste plus qu’à descendre par un magnifique sentier vers notre point de départ. Pas le temps de pique-niquer car la pluie arrive et nous pique-niquerons à l'abri d'une grange au hameau. De beaux paysages : 4h00 de marche dans des sentiers transformés en torrent et des alpages en boue. 


Nous avons visité également l'abbaye cistercienne de Tamié qui a été complétement reconstruite et restaurée aux 19 et 20è siècles. Elle est encore habitée par 20 moines de l'ordre des cisterciens qui fabriquent du fromage qu'ils vendent dans la boutique du monastère. L'abbaye dispose de 27 chambres pour assurer les "retraites spirituelles".
Visite d'Annecy, la Venise verte.
  
La flore est riche en orchidées ; nous en avons vu une dizaine dont le Sabot de Vénus.

Pour en savoir plus, cliquez sur l'album photo google +   

mercredi 8 juin 2016

Ile de Madere du jeudi 28 Avril au 12 Mai 2016

L’Ile de Madère (727 km2),  est un archipel du Portugal situé au large du Maroc dont Funchal est la capitale. Pour info, elle est distante d'environ 660 km du continent africain, 980 km de Lisbonne, 400 km des îles Canaries et 880 km des Açores. Elle est d'origine volcanique et possède un climat subtropical.
L'économie de la région repose essentiel-lement sur l'agriculture et le tourisme, principale ressource. L'agriculture produit des bananes destinées au marché local et métro-politain, des fleurs, et le vin de Madère qui jouit d'une grande réputation à l'exportation.
Nous avons choisi d'explorer l'île à partir de 2 sites : Côte Nord puis Côte Sud.
Sao Vicente
La Côte Nord est beaucoup plus sauvage et beaucoup plus verte donc plus humide. Nous étions basés à Sao Vicente, très exactement à Lameiros chez un apiculteur. Nous avons randonné principalement dans les" levadas" : ce sont des canaux d'irrigation, plus ou moins larges qui parcourent plus de 2150 Kms à travers l'île. Elles servent ainsi à alimenter les villages en eau et à irriguer les cultures et les plantations. Elles sont toujours accompagnées d'un sentier parallèle de maintenance et se rétrécissent plus ou moins selon le relief, ne laissant parfois pas de place pour y poser le pied. Ces randonnées convenaient très bien à JPierre. Sur la Côte Nord, nous avons emprunté la levada Caldeirão Verde qui commence au Parc Forestier de Queimadas dans le village de Santana (980 m). Nous avons traversé 3 tunnels étroits (se munir d'une lampe frontale). Nous avons cheminé dans les belles forêts de Cèdres du Japon, les cèdres de Madère, les bruyères arborescentes et bien sûr les lauriers de Madère (Ocotea foetens),
Randonnée également sur la levada de Faja de Rodrigues au départ de Sao Vicente. Le sentier est creusé dans la falaise. Très beaux cèdres du Japon et eucalyptus.
Ponta de Sao Lourenço
Nous avons également découvert les villages de Seichal, petit port et la station balnéaire de Porto Moniz avec ses piscines naturelles.  Belles randonnées également sur le sentier côtier très impressionnant d'Arco de Sao Jorge vers Ponta Delgada : 500 m de dénivelé le long de la falaise pour se rendre à Boa Aventura. Les routes sont particulièrement étroites, pentues et très escarpées. Nous avons été jusqu'à la péninsule sauvage de "la Ponta de São Lourenço" (pointe Saint-Laurent) qui forme l'extrémité orientale de Madère. La flore côtière est protégée par une réserve. Nous avons emprunté le sentier qui permet de sillonner cette presqu'île battue par les vents.
Levada de Faja de Rodrigues
Nous avons tenté à plusieurs reprises de nous rendre dans le centre où les montagnes culminent à 1700 m. Malheureusement, Encumeada et le Pic de Bica sont restés dans le brouillard et la pluie et nous avons dû abandonner l'idée d'y randonner.....

La deuxième semaine, nous étions basés à Prazeres sur la Côte Sud, normalement ensoleillée. Malheureusement, nous avons eu un temps bien capricieux, avec alternance de ciel bleu, nuages et pluie. Belle randonnée sur la levada do Norte de Camera de Lobos dans les bananeraies jusqu'à Cabo Girao. Visite des villages de Ponte Del Sol, village familial de l'écrivain américain Dos Passos, Madalena do Mar. Une belle balade aux deux petits villages difficiles d'accès situés en bordure de mer : Jardim do Mar, plage de galets, réservée aux surfers (importants rouleaux) et le village de pêcheurs de Paul do Mar.

Nous avons visité également Calheta et son moulin de la canne à sucre où les camions attendent leur tour pour décharger les cannes.
Et bien sûr, nous nous sommes rendus au magnifique jardin botanique de Funchal au moyen du téléphérique impressionnant (600 m de dénivelé).
Pour en conclure avec Madère, cette île  possède une végétation luxuriante où courent partout agapanthes, montbrétias, arums, capucines, hortensias. Les ribeiras sont réservées aux cultures de bananiers, et la forêt et les levadas à la laurisylva, aux eucalyptus, aux bruyères arborescentes.
Pour en savoir plus, cliquez sur l'album photo Google web 
celui ci étant la version courte (1ère partie Nord de l'île) et le second album, la version longue (Côtes Nord et Sud)


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dimanche 28 février 2016

Randonnée dans le Pilat le samedi 13 Février

Petite randonnée de 10 km au départ de Prélager sur un crêt situé au centre du Massif du Pilat, dans un paysage de forêts, de prairies et de landes. Le vent glacial souffle fort ce matin de février et la neige n'est pas loin : elle tombera en abondance demain.


Nous sommes partis du parking de Prélager,

village situé à côté de Saint Régis du Coin. Tout d'abord un paysage de landes puis nous avons enchaîné une forêt de conifères, de feuillus puis des landes où se côtoient myrtilliers, callunes, genêts, fougères et genévriers : une belle diversité. Nous avons atteint le crêt de Chaussître, accès facile, puis sommes montés à la table d'orientation.
Vue magnifique sur le Massif Central mais également sur les Alpes par beau temps. Le Crêt de Chaussître culmine à 1240 m et domine les plateaux où se dissimulent les villages de Saint Genest-Malifaux, Marlhes, Jonzieux.

Retour par les étangs de Prélager.
Pour en savoir plus, cliquez sur l'album photo google web :

lundi 25 janvier 2016

Randonnée Aniane : La Combe des Gours


Agréable balade en milieu vallonné et boisé se terminant par le suivi d'une ancienne voie ferrée (1892-1963). Peu de dénivelé. 11,5 Km.
Départ de la chapelle St Laurent d'Aniane (élevée en 1895 mais jamais achevée faute de fonds). Nous empruntons un agréable sentier qui serpente le long du ruisseau de Corbière. Puis nous cheminons  sur une piste jusqu'à l'ancienne voie ferrée qui reliait Montpellier à Rabieux (Lodéve). Le départ était la gare de Celleneuve,
puis elle passait à St Paul et Valmalle, La Boissière, Aniane, Gignac et son terminus était à Rabieux. Cette ligne vouée au fret servait essentiellement au transport du vin et raisins. Nous avons passé 2 viaducs, un tunnel de 270 m de long. Attention se munir de lampe frontale. Retour au parking de la chapelle avec un arrêt au ruisseau de Corbière.

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jeudi 21 janvier 2016

Saint Jean de Fos - La Maison des Plos 17 Janvier 2016

Maison Forestière des Plos

Dimanche 17 Janvier 2016, randonnée au départ de Saint Jean de Fos - La Maison des Plos : 14 Km carte 2642ET (500 m dénivelé).
Sous un ciel bleu et un magnifique soleil, nous garons notre voiture sur la route qui nous mène au château de Valloubière (cave, dégustation, chambres d'hôte). Nous empruntons tout d'abord un petit sentier qui serpente dans la garrigue puis une piste boisée qui nous mène après une heure de montée à la Maison Forestière des Plos, rebaptisée la "Maison des Légendes".  Le Domaine des Plos accueille un gite d'étape, des chambres mais héberge également une association culturelle et un centre de formation pour les tailleurs de pierre.Le centre de formation des métiers de la pierre, travaille actuellement à la taille complète d’un calvaire en pierre sculptée.
Deux objectifs de l'association : effectuer la restauration du patrimoine vernaculaire de St Jean de Fos et permettre aux tailleurs de pierre de travailler sur des projets concrets. 4  jeunes femmes et un homme  y travaillent et nous discutons avec Sandrine sur le patrimoine mais aussi sur la sculpture.
Nous continuons notre balade par la Combe de Brunon puis nous pique-niquons à la fin de la montée avec une vue magnifique sur les vignobles de St Jean de Fos et la mer. La redescente s'avère un peu plus difficile car le sentier est inexistant et remplacé par une grande piste. Retour à la voiture par les vignes et les oliviers. 
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mercredi 20 janvier 2016

LES BALCONS DE L'HERAULT - Dimanche 10 Janvier 2016

Les Balcons de l'Hérault –18 Km –Dénivelé 448 m -  Magnifique randonnée sur les hauteurs de l’Hérault avec de très beaux points de vue.  Consulter la fiche : http://www.saintguilhem-valleeherault.fr/_objets/medias/autres/circuit-les-balcons-de-l-herault-504.pdf.

 Départ du Cimetière de Puéchabon sous un temps maussade. Nous empruntons une large piste qui évolue dans une végétation de chênes verts, de cades et de pistachiers (point de vue sur Puéchabon), puis nous nous  dirigeons vers la Bergerie Neuve.
Puis, nous traversons tout d’abord le hameau de Lavène : la dernière bergerie du Causse y a cessé son activité en 2010 puis celui de Montcalmès, abandonné au 19è, et en restauration à
Hameau de Montcalmès
l’heure actuelle. Nous continuons jusqu’au belvédère du Berger où nous pique-niquons avec un magnifique panorama sur Saint Guilhem (aller/retour 20 mn). Nous continuons la longue piste rectiligne puis la quittons pour emprunter un sentier en balcon : très belles vues sur les Gorges de l’Hérault. Nous descendons par un sentier qui se rétrécit et aborde des barres rocheuses aménagées, jusqu’à la bergerie du Pont du Diable de St Jean de Fos. Nous traversons et empruntons la route D27 sur 200 m  et montons à gauche sur une piste goudronnée. Nous poursuivons notre chemin entre les vignes et les oliviers et j’en profite pour cueillir une belle botte de poireaux sauvages. Nous atteignons enfin après 3 km le carrefour et nous rendons à la Chapelle de Saint-Sylvestre-des-Brousses. Très belle chapelle romane. Il nous tarde de retrouver le parking car ce n’est pas les 14 km de prévus mais 18 km sur le podomètre.

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