Vendredi 11 juin, départ pour Brusque , (12) en passant par Cornus, village blotti au pied de sa falaise, vieux village de 500 habitants qui domine la vallée de la Sorgue et l'Orb y prend sa source. Nous pique-niquerons à St Maurice sur Sorgue à l'ombre des tilleuls. La fenaison bat son plein.
Nous faisons une halte dans les Rougiers de Camarès, au château de Montaigut, perché sur sa colline dont les premières traces datent du Xème. De son éperon rocheux (550 m) il domine toute la région et la vallée du Dourdou,
Château de Montaigut |
Intérieur du Château |
Campagne environnante |
Vue de notre location |
Le Dourdou à Brusque |
L'association des Amis du château de Montaigut, est devenu propriétaire du lieu en 1968, et a entrepris une vaste opération de restauration. Le château sera définitivement sauvé en 1989.
Nous arriverons en soirée au hameau de Moulergues dépendant de Brusque où se situe notre location. C'est une ancienne bergerie et nous avons une magnifique vue sur la campagne (sommet du Merdelou 1110 m). Les propriétaires sont adorables et nous faisons un tour dans leur potager.
Le vieux pont du Rougier de Camarès |
local nous permet d'acheter quelques bricoles. Les auberges sont encore fermées suite au confinement. Nous en profitons pour faire un tour à ce joli village où coule le Dourdou et nous montons jusqu'aux ruines du château. L'après-midi visite de Camarès, son vieux pont du XI ème où coule le Dourdou. Puis une visite au village médiéval de Combret sur Rance, labellisé au titre des "Petites Cités de caractère de France" : une halle (autrefois salle de justice puis halle à grains), de vieilles portes, jardin de pierres avec statues menhirs, ...
Anacamptis pyramidalis |
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Orchis à fleur de bouc |
Le menhir de Sauve Mousse |
Dimanche matin sur les conseils de M. Josse (le propriétaire), nous partons pour un itinéraire sur carte depuis le gîte vers le sommet de Sauve Mousse. Les anciens chemins d'exploitation abandonnés sont peu visibles mais agréables et très fleuris. Les genêts sont omniprésents. Vue superbe au sommet de Sauve-Mousse (853 m) matérialisé par un menhir. Nous n'avons jamais rencontré une telle profusion d'orchidées : Anacamptis pyramidalis. Mais des difficultés (déjà deux erreurs !) pour trouver le chemin du retour où nous verrons un chevreuil. Et pour terminer en apothéose, nous finissons au GPS à travers prés et bois avant de retrouver la bonne trace !
Alors Jean-Pierre, ton légendaire sens du terrain !!!
Pour en savoir plus, cliquez sur le lien de l'album photos google web.
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